Face à l’explosion de l’exposition aux écrans, il est impératif de protéger nos enfants. Cette question n’est pas seulement éducative ou sociale, elle est aussi sanitaire et démocratique : elle touche à la construction de l’attention, au développement du langage, à la capacité d’apprendre et de se concentrer, mais aussi à l’accès à une information de qualité.
C’est pourquoi j’ai été particulièrement ravie d’accueillir en circonscription un débat essentiel en présence de Sarah El Haïry, haute-commissaire à l’Enfance, de Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste reconnu pour ses travaux sur les écrans et le développement des enfants, et de Florent de Bodman, directeur général et cofondateur de l’association 1001 mots, engagée pour l’éveil langagier des jeunes enfants.
Aux côtés de ma collègue Joséphine Missoffe, députée de la 14ᵉ circonscription de Paris, nous avons échangé sur les défis immenses que pose cette surexposition : de l’éducation au numérique à l’encadrement des usages, en passant par le rôle des pouvoirs publics et des familles.
Sous l’impulsion du Président de la République Emmanuel Macron, des premières mesures concrètes ont déjà été prises pour limiter l’exposition précoce des enfants aux écrans. Ce travail doit se poursuivre et s’intensifier. L’enjeu est immense : il s’agit d’assurer un avenir serein à nos enfants dans un monde où le numérique est omniprésent, tout en leur garantissant un équilibre et une autonomie indispensables.
Je tiens à remercier l’ensemble des intervenants pour la qualité de leurs échanges et à réaffirmer mon engagement à poursuivre ce combat pour une société plus consciente et plus protectrice face à ces nouveaux enjeux.

Charlie à l'Assemblée nationale !

Stop à l'antisémitisme et aux discriminations dans nos universités !
